La sélection de la fabrique de l’Egalitée c’est quoi ?
Chaque semaine nous vous suggérons une liste parmi le programme télévisé, les sorties de films ou de livres ainsi que nos coups de cœur selon les thématiques qui nous sont chères.
Bien sûr,nous vous invitons à partager avec nous vos avis et questionnements à propos de ces suggestions.
DCDF31 ne soutient pas forcément chaque idéologie présentée dans ces ouvrages, mais l’important est de s’y intéresser et de partager!
Semaine du 26 mars au 1er avril 2018…
Qu’est ce qu’on lit cette semaine ?
L’intégrale des « aventures » de Joséphine, trentenaire, qui se lance à la recherche d’un partenaire amoureux. Et oui! c’est aussi simple que cela! A travers les trois tomes écrits par Pénélope BAGIEU depuis 2008 à partir du personnage qui lui fut commandé par le magazine suisse Fémina, nous suivons les péripéties banales et quotidiennes de la jeune femme qui , nous rappelle avec humour et détente ce qu’est la vie réelle.
Parfois tristes, souvent drôles, mais surtout toujours réalistes, ces récits sont à dévorer sans modération!
Sur ARTE (disponible en replay sur le site internet pendant 7 jours) :
Vendredi 29 mars
-00h30 StreetPhilosophy, laisse tout derrière toi! : Jonas Bosslet quitte Berlin pour un roadtrip à la rencontre de personnages aux techniques diverses et variées lorsque le besoin de s’évader se fait ressentir.
Et ce week end?
Samedi 31
-05h20 Betty Davis, reine du funk : (re)découvrez la passionnante vie de Betty Davis, femme libre et artiste magnétique.
-06h15 Marianne Faithfull, fleur d’âme : toujours directe, Marianne Faithfull avoue sans détour à Sandrine Bonnaire qu’un film sur elle-même ne l’emballe pas : « Mais je ferai de mon mieux. Je serai honnête », promet-elle. L’actrice et réalisatrice cerne tout de même avec sensibilité son rétif sujet, montrant les moments de lassitude et d’humeur ou la crainte de faire remonter des souvenirs douloureux, ce qui ne donne que plus de prix aux instants où Marianne Faithfull se livre avec la plus grande générosité. Grâce à ces émouvants entretiens et à un poétique montage d’archives, Sandrine Bonnaire parvient à capter l’élan de vie et la force créatrice qui a permis à la chanteuse de s’accomplir artistiquement, malgré la misogynie qui sévissait dans les sixties, et de survivre aux excès et aux coups du sort. Le portrait d’une femme libre, à la sensibilité à fleur de peau et au sens de l’humour inoxydable.
! N’HÉSITEZ PAS A NOUS FAIRE SAVOIR CE QUE VOUS EN AVEZ PENSE !
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